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2025 : prix des maisons à Eaubonne et Ermont et tendances du marché

Conseils
16/04/2025 - 5 min de lecture
2025 : prix des maisons à Eaubonne et Ermont et tendances du marché


Optimhome, acteur majeur de la transaction immobilière en France, dévoile son baromètre 2025 : une photographie précise et instructive d’un marché en mutation. Dans un contexte marqué par la reprise progressive des crédits, les concessions budgétaires et la montée en puissance des enjeux environnementaux, cette enquête révèle les nouveaux repères des Français dans leurs projets immobiliers.


Vers une reprise après une période de tension

Le marché immobilier amorce une transition après trois années complexes. D’après le baromètre 2025 publié par Optimhome, les transactions ralentissent, avec seulement 19 % d’achats de résidences principales, en recul de 2 points sur un an. En revanche, les acquisitions de résidences secondaires et d'investissements locatifs progressent légèrement (+1 point), signe d’un repositionnement des ménages dans un contexte encore incertain.

Pour Olivier Colcombet, président d’Optimhome, ces données reflètent « un marché encore tendu, mais où l’on entrevoit les prémices d’un redémarrage ».

Moins de ventes, mais une certaine stabilité

Seuls 15 % des Français déclarent avoir vendu un bien immobilier ces trois dernières années. Ce chiffre traduit une forme de retenue des vendeurs face à un marché hésitant, bien qu’il n’ait baissé que d’un point. La prudence reste de mise dans un environnement où les délais de vente s’allongent et les prix doivent souvent être revus à la baisse.

Des compromis inévitables sur les critères d’achat

Les acheteurs doivent adapter leurs attentes à la réalité du marché. Ainsi, 52 % des acquéreurs ont dépensé plus de 200 000 € pour leur résidence principale, soit une baisse de 3 points par rapport à 2024. En région parisienne, ce chiffre atteint 79 %, ce qui souligne l’écart entre les territoires.

Autre évolution : la taille des biens achetés. Seuls 60 % des logements dépassent les 80 m², contre 65 % l’an dernier. Face à la hausse des prix et à la baisse des budgets, les acheteurs revoient leurs priorités. L’esthétique du logement (41 %), la proximité du centre-ville (33 %), la surface (32 %) et la localisation (31 %) sont les critères les plus souvent sacrifiés.

Crédit immobilier : vers une nouvelle stabilité

Après une phase de durcissement, le recours au crédit immobilier se stabilise : 76 % des acheteurs financent leur achat par emprunt. En revanche, la durée des prêts continue de baisser : seuls 34 % des crédits dépassent 20 ans, contre 53 % en 2022.

Cette tendance s’explique par le durcissement des conditions d’octroi, mais aussi par la baisse des prix dans certaines régions. Résultat : les emprunts sont plus courts. Autre signe encourageant, 31 % des Français envisagent d’acheter dans l’année, soutenus par la baisse des taux et les dispositifs d’aide comme le PTZ (86 % de notoriété).

Des freins persistants à lever

Malgré un regain d’intérêt, plusieurs freins ralentissent les projets : le budget disponible (38 %), les taux d’intérêt (28 %) et le manque de biens (26 %). Côté vendeurs, les attentes sur le prix (37 %) et les délais de vente (31 %) compliquent les transactions.

Les leviers identifiés par les futurs acheteurs sont nombreux : prise en charge des frais de notaire dans le neuf (84 %), conditions de crédit plus souples (81 %), baisse des taux à 3,6 % (80 %), et recours au PTZ (79 %). Néanmoins, seuls 46 % se disent prêts à déménager dans une zone tendue, et 61 % refusent même une offre d’emploi dans ces zones en raison du manque de logements abordables.

Biens énergivores : des acheteurs plus ouverts

Le baromètre 2025 révèle une évolution des mentalités face aux logements énergivores. Désormais, 66 % des Français accepteraient d’acheter un bien classé F ou G, à condition d’envisager des travaux. Une progression notable (+16 points depuis 2023) dans le sillage des mesures de la loi Climat et Résilience.

Cette contrainte réglementaire pèse surtout dans les zones tendues, où 70 % des acquéreurs ont dû faire des compromis. La transition énergétique devient donc un enjeu incontournable du parcours d’achat.

Rénovation énergétique : un élan encore limité

Si l’intérêt pour la rénovation énergétique progresse, il reste majoritairement centré sur des travaux simples : 58 % des propriétaires optent pour des améliorations à effet immédiat, tandis que seuls 42 % s’engagent dans des rénovations lourdes.

Ce ralentissement est accentué par un manque d’information : seuls 61 % des 25-65 ans déclarent connaître les aides disponibles. Ce déficit nuit à la dynamique de rénovation pourtant essentielle pour atteindre les objectifs climatiques.

La mobilité géographique en forte progression

Près d’un Français sur deux (47 %) envisage de déménager dans une autre région d’ici deux ans. Une aspiration renforcée chez les habitants de la région parisienne (59 %) et chez ceux en projet d’achat (70 %).

Les villes moyennes séduisent 40 % des candidats à l’achat, tandis que les résidences secondaires attirent 61 % des acheteurs vers la campagne. En Île-de-France, 29 % des habitants souhaitent acquérir un bien, contre 14 % en Normandie — des écarts révélateurs des tensions locales et des dynamiques régionales.

Des professionnels toujours plus sollicités

Les professionnels de l’immobilier conservent une image positive : 72 % des Français leur font confiance (+18 points depuis 2015). Trois quarts des acheteurs récents ont fait appel à eux, preuve de leur rôle clé dans un marché devenu plus complexe.

Une offre de services de plus en plus attendue

Les acheteurs attendent des annonces détaillées et précises : photos (22 %), description (17 %) et localisation (12 %) arrivent en tête. Côté vendeurs, les services les plus plébiscités sont la vérification de la solvabilité des acheteurs (19 %) et l’accompagnement jusqu’au déménagement (17 %).

Le home staging (+4 points) et les conseils sur les diagnostics techniques (+4 points) gagnent en popularité, illustrant des attentes plus exigeantes et une offre en pleine mutation.

Ce que recherchent les familles à Eaubonne et Ermont

8 acquéreurs sur 10 recherchent :

  • une maison individuelle 
  • 90m2
  • 3 chambres
  • un espace de télétravail / chambre d'amis qui peut être dans les combles ou en sous-sol aménagé
  • une pièce de vie de minimum 30m2
  • un jardin (350m2 minimum)
  • un garage idéalement, deux stationnements
  • budget moyen : 480000€

Prix de vente à Eaubonne et Ermont

Notaires de France communique les prix de vente des maisons à Eaubonne et Ermont de octobre 2024 et mars 2025.


Dans le Val d'Oise au 1er trimestre 2025, la marge de négociation moyenne se négocie à -4,9% au dessous du prix affiché. Mais certains biens sont affichés à un prix marché et se négocient moins.


Durée de commercialisation dans le Val d'Oise

118 jours est le délai moyen dans le Val d'Oise entre la signature d'un mandat de vente (mise sur le marché) et la signature du compromis de vente.

À cela, il faut ajouter les 3 mois de traitement de dossier entre le compromis et l'acte authentique.


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